Soirée « slow-dating » autour d’un apéro convivial.
3 points communs les réunissent : Ils sont entrepreneurs, Ils ont moins de 30 ans, Ils ont choisi un statut coopératif (SCOP, SCIC, CAE) pour monter leur projet.
Une soirée pour rencontrer des jeunes qui ont choisi de travailler autrement au siège de COOPANAME Paris.
L’événement, qualifié de « slow-dating » (par opposition aux fameux « speed-datings »), est organisé par COOPANAME et la Mairie du 20e.
Dans une salle du siège de COOPANAME, une dizaine de stands tenus par des coopanamiens (entrepreneur salariés de COOPANAME) ou des entrepreneurs sociaux qui ont choisi un statut coopératif (SCOP, SCIC, CAE), tous âgés de moins de 30 ans, nous attendent pour nous présenter leur projet.
Au centre, un buffet copieux est mis à disposition.
Les gens arrivent progressivement, et bientôt la salle est remplie d’une trentaine de personnes, dans une ambiance conviviale et tamisée, où les discussions vont bon train.
Je fais la connaissance de Stéphane, de LUDOMONDE, une SCIC qui propose des animations sous forme de jeux pour tous types de publics, puis de Sylvain, bénévole à la SCIC Coopérative Etudiante, une coopérative gérée par les étudiants et pour les étudiants, et qui propose des lieux de vie et des services de restauration rapide à bas prix au cœur des campus. On me parle aussi du dispositif expérimental PIMENTS, sorte de compagnonnage visant à accompagner des jeunes dans l’élaboration et le lancement de leur projet d’entreprise solidaire.
Fin officielle de la soirée à 21h00, mais quelques personnes joueront les prolongations bien au-delà…
Dès mon arrivée à 18h30, je suis accueilli très simplement par Stéphane VEYER, le directeur de COOPANAME, puis par Jérémy, coopanamien, photographe et chargé de mission.
Tout de suite le ton est donné : accueil, simplicité et convivialité sont de mise. Le buffet offert est aussi là pour le rappeler.
Un tel événement est d’autant plus intéressant qu’il donne des idées, car c’est l’occasion de découvrir un tas de projets innovants, et de se faire un carnet d’adresses. J’ai notamment fait la connaissance du chargé de mission à la Mairie du 20e qui co-organise l’événement, et de la conseillère d’arrondissement en charge de l’économie sociale et solidaire.
Ce genre d’événement est forcément agréable, car on est un peu entre soi, entre des personnes qui partagent grosso-modo les mêmes valeurs, et qui travaillent dans le milieu de l’ESS ou qui gravitent autour.